Le management des déchets technologiques

Le management des déchets de la technologie est l’un des grands business du futur; en raison de l’evolution croissante de la technologie, conduisant à la numérisation du monde, de ce fait l’accès à Internet et l’offre de données constituent une mine d’or pour les entreprises. 
Dans cette mesure, Starlink est trop loin, le produit de Musk est comme Bitcoin (dans sa propre ligue, nous l'attraperons plus tard lorsque nous en aurons fini avec la fibre optique). Que va-t-il alors sortir s'il atteint Mars? Elon est définitivement en avance.

Ce qui est bien sur terre, c'est que l'utilisation d'Internet produit des données, qu'il faut mettre quelque part, c'est pourquoi la technologie "Cloud" est une formidable « poubelle » pour « nos déchets numériques ».

Les voitures électriques et l'énergie solaire sont en hausse, les études montrent que d'ici 10 ans, 80 % des voitures seront électriques et nous passons tous à l'énergie solaire ; avec leurs batteries qui doivent être recyclées, proposer encore une fois une « bonne poubelle » pour prendre soin du grand nombre de ces batteries montre que s'occuper des déchets est une excellente affaire.
Pour le certifier, nous avons la biomasse, le biogaz, ... 

Les grandes opportunités ne résident pas toujours dans la fourniture du produit final mais dans la fourniture des composants nécessaires à sa fabrication et à l'entretien de ce produit après utilisation. (Nous avons le service apres-vente, nous aurons le produit après-vente)
Taïwan a vu juste et est devenue le premier producteur de semi-conducteurs au monde. Puisque l'Afrique aime les déchets, "cloud(ons)" et recyclons. (Les gouvernements africains sont les champions du gaspillage, pour faire simple, de la corruption.)

Si en Afrique nous accomodons pour une utilisation utile les déchets technologiques du monde, et si par hasard nous pouvons produire des composants de ce qui est utilisé dans les énergies renouvelables car detenant les mineraux et matieres premières, alors l’Afrique deviendra incontournable dans la sphere technologique.

NB: Les COP devraient donc plus se focaliser sur comment recycler la pollution que la reduction de celle ci car notre civilization a besoin de polluer et continuera a le faire.                                                                                                                                                                                                                                                           Marius C. Oula 

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