La solution au sous-dévéloppement.
La mise en place d'infrastructures économiques et commerciales, la création de PME, la transformation des matières premières, l'augmentation des exportations de services, la bonne gouvernance et l'éthique, etc., ne sont pas les solutions au sous-développement des pays africains mais les résultats ou conséquences de la solution à leur sous-développement.
Les méthodes et les stratégies à utiliser pour déclencher le développement d’un pays sont un secret de polichinelle. Rien sur cette terre, notamment en termes de stratégie de développement, n'existe déjà : « Il n'y a rien de nouveau sous le soleil, ce qui est a déjà été", - sous l'empereur Soundiata Keita (XVIIe siècle), le développement de l'agriculture s'est fait grâce à d'ingénieux procédés d'irrigation ; la crise financière internationale de 2006 a utilisé les solutions du Japon qui avait déjà connu une crise similaire ; Elon Musk n’a pas créé la voiture électrique ; l'énergie solaire a toujours été là.
L'idée (la pensée), le désir (la volonté) et l'action produisent la manifestation.
Pour que des gens aussi intelligents puissent se faire élire présidents de la république et rester au pouvoir pendant des années, ils savent certainement ce qu’il faut faire pour développer leur pays. Mais malheureusement leurs désirs (pour les plus audacieux) ne peuvent se concrétiser en actions concrètes de développement.
C’est ce problème qu’il faut résoudre sinon les pays sous-développés d’Afrique continueront à s’endetter en nous vendant l’illusion que leurs prêts sont de l’aide au développement. Ce qui d’ailleurs n’est l’agenda de personne, à commencer par l’Africain lui-même. l'Afrique ne veut absolument pas se développer. Pour paraphraser le professeur Obinga qui a dit, "l'Afrique se plaît dans la colonisation", donc elle aime le sous développement, d'où son désir d y rester.
Désirez ardemment quelque chose, vous entraîne à entreprendre les actions nécessaires pour l'avoir. La seule chose qui vous empêchera d'agir dans ce sens est le manque de liberté - un prisonnier ne pourra quelque soit son désir ardent et ses moyens financiers assister en direct à la finale de la champions league dans un stade. Sauf si on le fait sortir de prison à cet effet.
Les dirigeants Africains doivent se libérer ou soudoyer leur geôliers pour sortir de cette prison qu'est les accords coloniaux.
La première libérté ne peut se faire que par la force et celle du soudoiement par la stratégie.
Sans la capacité de décider et d'agir par soi-même (self-détermination), l'Afrique ne pourra pas se développer car ceux qui décident pour l'Afrique la préfèrent sous-dévéloppée.
La solution au sous-développement de l'Afrique est la liberté, de décider et d'agir, afin de mettre en place tous ces programmes de développement qui pourrissent dans les bureaux ministeriels.
Emprunter auprès d'institutions internationales pour financer le développement en Afrique est pure demagogie, le terme approprié est "emprunter pour l'amélioration des conditions de vie de la population et l'état du pays en question".
Se libérer des accords coloniaux soit par la force (liberté totale) ou par la strategie (liberté à court terme, partielle) permettra aux Africains de choisir le programme de développement adequat pour leur pays respectifs.
NB: Le désir de liberté est d'abord mentale et c'est une violence que l'être humain doit faire sur lui-même pour se libérer de l'esclavage mentale.
Les méthodes et les stratégies à utiliser pour déclencher le développement d’un pays sont un secret de polichinelle. Rien sur cette terre, notamment en termes de stratégie de développement, n'existe déjà : « Il n'y a rien de nouveau sous le soleil, ce qui est a déjà été", - sous l'empereur Soundiata Keita (XVIIe siècle), le développement de l'agriculture s'est fait grâce à d'ingénieux procédés d'irrigation ; la crise financière internationale de 2006 a utilisé les solutions du Japon qui avait déjà connu une crise similaire ; Elon Musk n’a pas créé la voiture électrique ; l'énergie solaire a toujours été là.
L'idée (la pensée), le désir (la volonté) et l'action produisent la manifestation.
Pour que des gens aussi intelligents puissent se faire élire présidents de la république et rester au pouvoir pendant des années, ils savent certainement ce qu’il faut faire pour développer leur pays. Mais malheureusement leurs désirs (pour les plus audacieux) ne peuvent se concrétiser en actions concrètes de développement.
C’est ce problème qu’il faut résoudre sinon les pays sous-développés d’Afrique continueront à s’endetter en nous vendant l’illusion que leurs prêts sont de l’aide au développement. Ce qui d’ailleurs n’est l’agenda de personne, à commencer par l’Africain lui-même. l'Afrique ne veut absolument pas se développer. Pour paraphraser le professeur Obinga qui a dit, "l'Afrique se plaît dans la colonisation", donc elle aime le sous développement, d'où son désir d y rester.
Désirez ardemment quelque chose, vous entraîne à entreprendre les actions nécessaires pour l'avoir. La seule chose qui vous empêchera d'agir dans ce sens est le manque de liberté - un prisonnier ne pourra quelque soit son désir ardent et ses moyens financiers assister en direct à la finale de la champions league dans un stade. Sauf si on le fait sortir de prison à cet effet.
Les dirigeants Africains doivent se libérer ou soudoyer leur geôliers pour sortir de cette prison qu'est les accords coloniaux.
La première libérté ne peut se faire que par la force et celle du soudoiement par la stratégie.
Sans la capacité de décider et d'agir par soi-même (self-détermination), l'Afrique ne pourra pas se développer car ceux qui décident pour l'Afrique la préfèrent sous-dévéloppée.
La solution au sous-développement de l'Afrique est la liberté, de décider et d'agir, afin de mettre en place tous ces programmes de développement qui pourrissent dans les bureaux ministeriels.
Emprunter auprès d'institutions internationales pour financer le développement en Afrique est pure demagogie, le terme approprié est "emprunter pour l'amélioration des conditions de vie de la population et l'état du pays en question".
Se libérer des accords coloniaux soit par la force (liberté totale) ou par la strategie (liberté à court terme, partielle) permettra aux Africains de choisir le programme de développement adequat pour leur pays respectifs.
NB: Le désir de liberté est d'abord mentale et c'est une violence que l'être humain doit faire sur lui-même pour se libérer de l'esclavage mentale.
Marius Yusuf C. Oula
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